C'est une voie historique est incontournable des Calanques, ouverte en 1964, dont la caractéristique est de passer entre des toits, suspendus plein gaz au dessus de l'eau.
Mais tout d'abord, il faut compter une bonne heure et demie de marche d'approche et un accès en rappel, pour arriver sur une vire et atteindre le début de la voie.
Dès le départ, la vue sur la Calanque d'En Vau, le plateau de Castelvieil et le Cap Canaille au fond est superbe, malgré une météo mitigée le matin.
La voie démarre au pied d'une cheminée qu'il ne faut pas suivre, car il faut monter à droite vers une autre cheminée. L'absence d'équipement retrouvé (c'est du terrain d'aventure après tout) et le topo peu clair font préférer à Thierry la cheminée, qui est en fait la première longueur de la voie des Croulants, en 5c. Longueur surprenante à l'adhérence et aux prises rondes déconcertantes, pas si facile que ça, sur un équipement plus que vétuste.
Le Cap Canaille, un lieu à découvrir... une prochaine fois!
Rappels en fil d'araignée pour atteindre le départ.
Gérard dans la dalle en 6c de L2.
Partis en début d'après midi pour rouler dans la plaine des Maures, cette sortie s'annonçait plutôt mal: pas moyen de trouver le bon chemin: tous les sentiers se terminaient en cul de sac. Après d'innombrables tentatives et demi-tours, parce qu'évidemment, il nous manquait la bonne carte, on a fini par arriver au Lac des Escarcets, dont nous avons fait le tour.
Le lac des Escarcets en question 
Le tour du lac des Escarcets est une jolie boucle plutôt technique (qui m'a donc valu deux bonnes gamelles...), dans un cadre agréable, surtout en cette période car le paysage est très coloré, avec de magnifiques champs d'iris sauvages.
