Bon, c'était mal parti, on s'en doutait. Oui mais voilà, avec deux filles têtues, on arrive tout de même à faire un peu d'escalade contre toute attente, et surtout on finit par bavarder au coin du feu devant une crêpe au Nutella, et ça c'est plutôt sympa...
Alors je vais commencer par le début...
Après un essai de cette belle activité qu'est l'escalade en salle à Brest, Léo se retrouvant à Annecy pour quelques mois et moi-même à Chambéry, il fallait donc qu'on en profite pour grimper en falaise avant les Calanques à l'automne. Nous avons donc commencé par occuper nos vendredis après-midis à grimper à Cessens, pour que Léo s'entraîne aux manips de corde et à l'escalade en tête. Il fallait ensuite attaquer les grandes voies, mais l'emploi du temps de ministre de Léo ne nous a laissé que ce vendredi là précisément, et il ne fallait pas laisser passer l'occasion.
J'avais donc sélectionné un grande voie de trois longueurs à la Pointe de la Colombière: pas trop long pour débuter, et retraite aisée en cas de mauvais temps.
Je pars donc de Chambéry... sous la pluie... rejoindre Léo à Annecy... sous la pluie...
Nous nous dirigeons vers le Grand Bornand... sous la puie... puis au col de la Colombière... ben oui, toujours.
Mais une fois au Col, bien que la route soit mouillée, le rocher, lui, a l'air plutôt sec, alors on y croit, on prend le matos et roulez jeunesse, au pire on aura pris l'air jusqu'au départ de la voie.
Et puis finalement, malgré les nuages, le temps n'est pas à l'orage et le rocher n'est pas pire, alors je me lance... et là, ça se met à pleuvoir franchement. Je parviens quand même au relais et Léo me rejoint alors que le rocher commence à glisser par endroits... mais il s'arrête de pleuvoir.
Deuxième longueur, j'y vais, j'y vais pas? Bon, j'y vais, mais l'adhérence sur rocher mouillé, ainsi que la configuration du rocher avec le risque de coincement de corde lors du rappel et le plan foireux qui risquait de suivre ne m'auront pas vraiment inspirée et nous battons finalement en retraîte... direction le bar du col de la Colombière où une bonne crèpe n'attendait que nous!
Nous nous dirigeons vers le Grand Bornand... sous la puie... puis au col de la Colombière... ben oui, toujours.
Mais une fois au Col, bien que la route soit mouillée, le rocher, lui, a l'air plutôt sec, alors on y croit, on prend le matos et roulez jeunesse, au pire on aura pris l'air jusqu'au départ de la voie.
Et puis finalement, malgré les nuages, le temps n'est pas à l'orage et le rocher n'est pas pire, alors je me lance... et là, ça se met à pleuvoir franchement. Je parviens quand même au relais et Léo me rejoint alors que le rocher commence à glisser par endroits... mais il s'arrête de pleuvoir.
Deuxième longueur, j'y vais, j'y vais pas? Bon, j'y vais, mais l'adhérence sur rocher mouillé, ainsi que la configuration du rocher avec le risque de coincement de corde lors du rappel et le plan foireux qui risquait de suivre ne m'auront pas vraiment inspirée et nous battons finalement en retraîte... direction le bar du col de la Colombière où une bonne crèpe n'attendait que nous!
La vue (dégagée) sur le Grand Bornand... |
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