Ce matin, réveil à 4h30, petit déjeuner et nous filons en direction de la Pointe des Cinéastes pour la traversée de son arête.
Autant le dire tout de suite, c'est un parcours d'arête qui nous a bien emballés: rocher agréable, itinéraire évident et facile à protéger, avec quelques pitons dans les passages délicats, pas mal de manips de corde, le tout avec une très jolie vue sur le Pelvoux et le Glacier Blanc. En plus, la météo clémente, avec une température idéale et sans vent, n'a rien gâché!
La Pointe des Cinéastes en question: on rejoint la vire où il reste un peu de neige puis des rochers faciles mènent à la première brèche (à gauche de la pointe la plus à droite au premier plan). De là, c'est facile, il suffit de suivre le fil de l'arête jusqu'au sommet!
Notre départ matinal nous permet de profiter du lever du soleil sur le Pelvoux...
Nico attaque jusqu'à la première brèche, puis me laisse prendre la direction des opérations pour mon plus grand plaisir.
C'est beau, ça déroule bien, c'est bien aérien par endroits...
Je me répète, je sais, mais c'est aussi un parcours ludique, avec ses manips de corde: deux rappels, pour descendre des quatrième et cinquième pointe, en plus des rappels de descente, viennent ponctuer l'itinéraire.
Pour la petite histoire, ce sommet porte le curieux nom de Pointe des Cinéastes parce qu'il a été gravi à la recherche d'un point de vue pour tourner un film sur la Barre des Ecrins, que l'on voit ici tout au fond, à gauche du Glacier Blanc. A droite, c'est la Roche Faurio, autre beau belvédère face à la Barre...
Petite pause pique nique express au sommet, pas très confortable, puis la véritable pause une fois les rappels terminés. Retour au refuge du Glacier Blanc pour une bonne part de tarte aux myrtilles (mais ils ne pensent qu'à bouffer ces deux là!!!) et nous redescendons au Pré de Madame Carle sous le beau soleil de l'après midi.
Camp de base 4 étoiles avec vue sur l'Aiguillette du Lauzet, à côté de deux espagnols que nous croiserons pendant tout le reste de notre séjour...
Notre départ matinal nous permet de profiter du lever du soleil sur le Pelvoux...
Nico attaque jusqu'à la première brèche, puis me laisse prendre la direction des opérations pour mon plus grand plaisir.
C'est beau, ça déroule bien, c'est bien aérien par endroits...
Je me répète, je sais, mais c'est aussi un parcours ludique, avec ses manips de corde: deux rappels, pour descendre des quatrième et cinquième pointe, en plus des rappels de descente, viennent ponctuer l'itinéraire.
Pour la petite histoire, ce sommet porte le curieux nom de Pointe des Cinéastes parce qu'il a été gravi à la recherche d'un point de vue pour tourner un film sur la Barre des Ecrins, que l'on voit ici tout au fond, à gauche du Glacier Blanc. A droite, c'est la Roche Faurio, autre beau belvédère face à la Barre...
Petite pause pique nique express au sommet, pas très confortable, puis la véritable pause une fois les rappels terminés. Retour au refuge du Glacier Blanc pour une bonne part de tarte aux myrtilles (mais ils ne pensent qu'à bouffer ces deux là!!!) et nous redescendons au Pré de Madame Carle sous le beau soleil de l'après midi.
Camp de base 4 étoiles avec vue sur l'Aiguillette du Lauzet, à côté de deux espagnols que nous croiserons pendant tout le reste de notre séjour...
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